Le sermon, en ce temps-là (à peu près contemporain de Kierkegaard, ça se sent par endroits), avait tout de même une certaine classe.
Merci !
P.S. En rapport avec l'autre fil, tu auras noté (dans la remarque finale de la première méditation) que, même pour un "orthodoxe" comme Vinet, il faut penser "Jésus-Christ" non seulement après mais avant et en-dehors de "Jésus-Christ", si toute "recherche de Dieu" passe par "Jésus-Christ" même pour ceux qui n'ont jamais entendu parler de "Jésus-Christ". On est très loin de Calvin, qui pouvait tranquillement utiliser l'inégale répartition géographique du christianisme comme un argument en faveur de la "double prédestination" (des uns au salut, des autres à la perdition).