Culpabilité, conscience.

revenons à des choses plus sérieuses. Que pensez vous de ces affirmations.
La peur et la culpabilité sont les seuls ennemis de l’homme.
La culpabilité est le sentiment qui nous tient englué dans ce que nous ne sommes pas.
Dans la culpabilité nous ne grandirons pas, nous ne ferons que nous étioler et mourir.
La conscience, voila ce que nous devons rechercher.
La conscience n’est pas la culpabilité, tout comme l’amour n’est pas la peur. L’amour et la conscience sont nos véritables amis. Mais ne les confond pas. Les unes nous tueront, tandis que les autres nous donneront la vie.
Nous ne devons pas se sentir coupable de rien. A quoi bon ? Cela nous permet seulement de ne pas nous aimer, et cela élimine toutes les chances de pouvoir aimer quelqu’un d’autre.
Soyons prudent, et n’ayons pas peur. La peur et la prudence sont deux choses différentes. Soyons prudent, et conscient, mais ne soyons pas craintif, car la peur ne fait que paralyser, tandis que la conscience mobilise.
La honte et la culpabilité sont des sentiments imposés à un être de l’extérieur de lui-même. Ces sentiments peuvent ensuite être intériorisés, mais à l’origine elles sont initialement imposées de l’extérieur.
Aucun être divin ne sait jamais que lui-même, ou que ce qu’il fait, est ‘honteux’ ou ‘coupable’, jusqu’à ce que quelqu’un de l’extérieur lui donne cette étiquette.
Par exemple, un enfant se sent il coupable de jouer avec ses organes sexuels ? Bien sur que non ! Pas avant que nous lui disions de se sentir coupable.
La culpabilité est l'un des élément qui nous condamne, et qui développe en nous des maladies.
L'organe touché, nous donne une précision sur la cause de nos problèmes, ou de nos culpabilités.
Prenons un seul exemple, et biblique s'il vous plait !
La peur est l'émotion qui est en relation étroite avec les Reins (énergétiquement parlant) Ces reins s'occupent de tous nos orifices inférieurs...
Nous comprenons mieux maintenant le passage de Daniel 5/6 concernant le Roi Belshatsar qui découvrait les doigts d’une main d’homme qui écrivaient…
Version Segond
Alors le roi changea de couleur, et ses pensées le troublèrent; les jointures de ses reins se relâchèrent, et ses genoux se heurtèrent l'un contre l'autre.
Version Darby:
Alors le roi changea de couleur, et ses pensées le troublèrent; et les liens de ses reins se délièrent, et ses genoux se heurtèrent l'un contre l'autre.
En d’autres termes, il fit dans sa culotte !!! Berk !