Psaume chapitre 34 verset 20

Psaume 34 :20 > Le malheur atteint souvent le juste. Mais l'Eternel l'en délivre toujours.

John Newton, un marchand d’esclaves converti, avait demandé à Dieu une vision qui transforme sa vie et Dieu lui permit des épreuves que Newton jugeait presque insurmontables.
Mais Dieu lui répondit : « C’est le moyen par lequel j’exauce ta demande de grâce et de foi.
Je me sers de ces épreuves intérieures pour te délivrer de toi-même et du péché et je contrecarre tes projets de bonheur afin que tu trouves tout pleinement en moi. »

Il a certainement du forcer un peu trop l'épreuve pour Abel !
Qu'en penses tu ?

Sujet bien délicat...

Avec ou sans "Dieu", il semble aussi intolérable, moralement, de justifier le malheur des autres qu'il est insupportable, psychologiquement, de ne pas donner un sens au sien...

Deux textes que j'aime bien tout de même dans leur tentative (ou tentation?) d'intégrer le sort individuel dans une certaine "économie du destin":

"Nul d'entre nous ne vit pour lui-même, et nul ne meurt pour lui-même." (Romains 14,7)

"Que le frère de basse condition mette sa fierté dans son élévation, et le riche, au contraire, dans son abaissement, car il passera comme la fleur de l'herbe." (Jacques 1,9s).

Sans commentaire autre que: à lire lentement.