Psaume célèbre au moins par son incipit latin, De profundis... qui l'a curieusement orienté vers la liturgie funéraire. Comme si dans la mort où il n'y a précisément plus rien à espérer on ne pouvait, paradoxalement et enfin, qu'espérer... Un seul et même désir, de vie et de mort à la fois (cf. supra).
[Un commentaire "(ultra-)calviniste" (= La Revue réformée d'Aix-en-Provence) est naturellement plus à son aise, dans les Psaumes, avec les confessions de péché qu'avec les protestations d'innocence...]