C'est d'autant plus incohérent par rapport à la traduction simple du génitif ("plénitude de X") en 1,23 et 4,13 (celui de 1,10, "plénitude des temps", est tout à fait perdu dans la traduction "au terme des temps fixés"). Et aussi par rapport à l'autre pirouette théologique de Colossiens 2,9, qui joue non sur la relation mais sur le complément: non "plénitude que donne la divinité", mais "plénitude de la qualité divine"...